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BACULUMESQUE

by Baculum

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1.
Épitaphe 02:40
Les paroles : Il se tua d’ardeur, ou mourut de paresse. S’il vit, c’est par oubli ; voici ce qu’il se laisse : — Son seul regret fut de n’être pas sa maîtresse. — Il ne naquit par aucun bout, Fut toujours poussé vent-de-bout, Et fut un arlequin-ragoût, Mélange adultère de tout. Du je-ne-sais-quoi. — Mais ne sachant où ; De l’or, — mais avec pas le sou ; Des nerfs, — sans nerf. Vigueur sans force ; De l’élan, — avec une entorse ; De l’âme, — et pas de violon ; De l’amour, — mais pire étalon. — Trop de noms pour avoir un nom. — Coureur d’idéal, — sans idée ; Rime riche, — et jamais rimée ; Sans avoir été, — revenu ; Se retrouvant partout perdu. Poète, en dépit de ses vers ; Artiste sans art, — à l’envers, Philosophe, — à tort à travers. Un drôle sérieux, — pas drôle. Acteur, il ne sut pas son rôle ; Peintre : il jouait de la musette ; Et musicien : de la palette. Une tête ! — mais pas de tête ; Trop fou pour savoir être bête ; Prenant pour un trait le mot très. — Ses vers faux furent ses seuls vrais. Oiseau rare — et de pacotille ; Très mâle … et quelquefois très fille ; Capable de tout, — bon à rien ; Gâchant bien le mal, mal le bien. Prodigue comme était l’enfant Du Testament, — sans testament. Brave, et souvent, par peur du plat, Mettant ses deux pieds dans le plat. Coloriste enragé, — mais blême ; Incompris… — surtout de lui-même ; Il pleura, chanta juste faux ; — Et fut un défaut sans défauts. Ne fut quelqu’un, ni quelque chose Son naturel était la pose. Pas poseur, — posant pour l’unique ; Trop naïf, étant trop cynique ; Ne croyant à rien, croyant tout. — Son goût était dans le dégoût. Trop crû, — parce qu’il fut trop cuit, Ressemblant à rien moins qu’à lui, Il s’amusa de son ennui, Jusqu’à s’en réveiller la nuit. Flâneur au large, — à la dérive, Épave qui jamais n’arrive…. Trop Soi pour se pouvoir souffrir, L’esprit à sec et la tête ivre, Fini, mais ne sachant finir, Il mourut en s’attendant vivre Et vécut, s’attendant mourir. Ci-gît, — cœur sans cœur, mal planté, Trop réussi — comme raté. Tristan Corbière
2.
Richard 02:41
Les paroles : Libéré de toutes prisons, dans le but de ne rien changer ! Gloire à Satan ! Orgie dans le sang ! Les psychopathes, ça plait aux meufs, Couper des têtes, ça rend mysterieux ! Moi j'suis moche et repoussant, alors je tue des gens, C'est excitant ! Bozo le noir : c'est pire qu'un juif pauvre, Pompe des rivières, pour remplir une mer ! Je te deteste et je voudrais que tu meures ! Je te deteste et je voudrais que tu meures ! Je te deteste et je voudrais que tu meures ! Je te deteste et je voudrais que tu meures ! La Terre n'est qu'un immense cercueil dont nous sommes les clous, et les pourceaux qui constituent cet ensemble vivant se régalent et s'abreuvent de la cruauté.
3.
Kern 03:34
Les paroles : J’aime les sujets qui grincent… Ça me rappelle mes ex… Grognasse, double connasse ! Grognasse, double pétasse ! Des pétards mouillés Tombent dans ma boite a schneck, rouillés Sont leurs cotons d’ouates, Leurs colons que je re-doigte Finissent par me redouter, Finissent par me rebuter… J’suis pas maton, t’es pas ma maman, J’mange les tibias de ta grande-maman ! Cette prison ferme mérite l’ogive, Dans cette cage sans plafond personne ne peut voler, vous êtes tous cons ! Cette prison ferme mérite l’ogive, Dans cette cage sans plafond personne ne peut voler, vous êtes tous cons ! Je sais que j’ai raison, ferme ta gueule ! Ma vie : j’me branle à perpet et je meule Dans l’espoir de tirer la bonne balle... Au bon endroit, jamais ce qu’il faut, c’est pas normal… J'fais pas du rap de blanc ! J’voudrais plaire à Marc Dutrou et Nolwenn en même temps ! Question sociologique : j’aime ni les gwere ni les bicots. Avale, ou tolère : Vous êtes tous nul à chier.
4.
Les paroles : L'art m'ennuie à en vivre, je préfère murmurer cyniquement du bazar A l'oreille des mourants, des cadavres bizarres et hagards Qui, marabouté par l'alcool font danser leurs larmes, Et catapultent leurs drames dans mes faux-vers, et mes armes, Je donne une leçon, ils sucent mon ombre, chialent des ténias Car leurs yeux sont des anus fatigués, Lorsque pas d'banania, C'est la vie qui les Martyrise, (ils )Tyrannisent Des parents fantastiques ! Fluide glacial, caca chaud, Jamais content, va toujours mieux, Laver nos dents, c'pas le lieu ! Nos chiottes puent comme Dachau ! Déjà vides nos verres, vides nos chargeurs, Dans la campagne livide où tout beigne, Tout est vide et lent comme un bagne, Vides nos vies : remplissons nos cimetières Laissez mes bras seuls, l'amour n'est bon qu'à consumer La sensibilité, donc le génie qui se planque en chacun de nous, Franchise annule délicatesse, je foutre pas avec des mots doux, Seuls comptent les jolis bouts framboise mous que j'imagine écumer, J'aime les plantes sur lesquelles ma semence vient perler, Du reste, je me méfie des femmes qui me font trop parler.
5.
Les paroles : Sourds, je déteste les sous-entendus Aveugle, ton string qu'un fil perdu Muet, besoin d'écrire en flux tendus ( séduisant ) si puissaaaaaaaaant, je snobs vos culs fendus ! Au pmu d'Arssac ( tu connais groland ? ) C'est pas la fin du monde ! C'est que le début d'l'aprem ! Ooooh hey Whoooooo Lalalalalalalalalalalalaaaaaaaaaaaaa Lalalalalaalalalalalalalalaaaaaaaaaa Au pmu d'Arsac ! Tout le monde connait Yolande ! Yolande la pute yolande la pute yolande la pute yolande la pute Yolande la pute ! Baise donc les buts ! Yolande la pute ! Que s'taisent les putes ! Yolande la pute ! Violence sans but ! Yolande la pute ! Baise donc les buts ! Yolande la pute ! Que s'taisent les putes ! Yolande la pute ! Violent sans buts ! L'enfer le paradis se situent au même endroit ( je sais c'que je dis, j'ai la bite dedans ) Alors dieu et satan sont avec moi ! Votre morale n'est qu'une somme d'occasions râtées, la drogue chez les gosses c'est une vertu de l'hérédité ! Passion néant, parfum odeur merde ! A parabole vide mal être abyssal ! ABYSSAL, mes vetements sont sales ! et j'marche dans la rue tout seul, elle est deserte, ici tout les racistes sont noirs quand il fait tard le soir y'a rien dans la rue a part ma bedaine et ma bite, c'est ma pite, ivrogne, mes couilles sont remplies de vins, alors sucez moi ! Oui, comme le reste du monde j'passe mon temps à faire la guerre Dans cette eternel joute envers moi même je me plais A grincer des dents, me crisper, me branler, tout juter Recommencer sans jamais rien toucher, rien baiser, rien faire ! Au pmu d'Arssac ( tu connais groland ? ) C'est pas la fin du monde ! C'est que le début d'l'aprem ! C'est que le début d'l'aprem ! C'est que le début d'l'aprem !
6.
C'EST QUOI CET APPART DE MERDE REMPLI DE BLANCS DE MERDE AVEC DES PETASSES DE MERDE CONSTIPE LE VENTRE REMPLI DE MERDE SOIREE DE MERDE, BLANCS DE MERDE TAS 20 ANS TAS CHOPE UNE MEUF DE 30 ET TU TE CROIS CHAUD J'AI BAISE TA MERE, MERDE PUTAIN DE BLANC DES BIERE MERDE CE SOIR J'EN BOIS 330 GRIMACE DU NEZ C'EST QUI QUI PETE J'VOUS MEPRISE AVEC VOS BRANLETTES DE FAIBLES DE GROS FRAGILES DE CONNARD DE BLANC QU'A RIEN VECU DE CONNARD DE BLANC QU'A RIEN VECU KISSA KISSA ? DE CONNARD DE BLANC QU'A RIEN VECU KISSA KISSA ? DE CONNARD DE BLANC QU'A RIEN VECU INCROYAB' DE CONNARD DE BLANC QU'A RIEN VECU INVRAISEMBLABLE JE VAIS TE NIQUER TA SOIREE DE MERDE JE VAIS TE NIQUER TA SOIREE MERCI MARIE JANE JE VAIS TE NIQUER TA SOIREE CAR JSUIS A UNE SOIREE DE MERDE REMPLI DE BLANC DE MERDE AVEC DES PETASSES IMBAISABLES INVRAISEMBLABLE JSUIS A UNE SOIREE DE MERDE STP DAECH REVIENS FOUTRE LE ZBEUL J'VEUX TOUS LES FAIRE SAUTER DANS LA JOIE J'AI MON PERMIS MEURTRE LA PREUVE, J'SUIS TOUT SEUL SEUL A UNE SOIREE DE MERDE MA MOUSTACHE LEUR FOU LES FOY STP DAECH REVIENS STP DAECH REVIENS STP DAECH REVIENS STP DAECH REVIENS STP DAECH REVIENS STP DAECH REVIENS STP DAECH REVIENS STP DAECH REVIENS STP DAECH REVIENS STP DAECH REVIENS
7.
Socialcore 05:00
Les paroles : C'est arrivé loin de chez vous, La femme des uns, sous le corps des autres, dans les décombres D'une ville étrangère, à feu et à sang, où tout meurt. Tapis dans l'ombre De ma chambre intacte ou j'me gratte le mou, Entre deux lignes, j'aime les colonnes qui se branlent, tapis dans l'ombre Je lis les petites histoires d'épouvantes, je lis les petites histoires drôle, Y'a des scies, des camisoles, des seins, des poils, Des bites, d'la drogue, du suicide, Entre deux lignes, de coke, j'en parle, j'dévalise mon pochtar, Dans mes faits divers, y'a d'la chatte et du morbide, Vive le viol! Vive le meurtre et la drogue! Vive le viol, Vive le meurtre ! Vas-y leche c'est gratos! Prend le comme tu veux, rien à foutre que tu comprenne pas les paroles ! Bismillah ! Bismillah ! Bismillah, bismillah, suce ma sucette au SIDA, Bismillah, bismillah, t'as les yeux bleus Karima ! SOCIALCORE, transpire ma pisse par les pores, t'es pâles t'es frêles, PD, plus de lignes en tete que Delarue, tes putes hautaines, demis mondaines, immondes, chaudes de la bedaine : sur mon autel ( PD demande à mon tel ) T'as rien compris ? C'est pas grave moi non plus. Nous sommes les traîtres! Nous sommes les mécréants! Ton anus crise, on t'encule en manuscrit! Pluie de sang! Ta femme jouit Des harangues, tourne dans ma team Comme la pourcelle de Villon, Ou celle de Stéphane Guillon, Prière, à genoux, face à 7 saucisses y'a plus rien d'intimes... La joie, c'est peut-être un sourire, c'est peut-être bien mourir ? 'Agarde à qui tu cause, Ringarde, nid à mycose, Respecte le foin, Cale toi des oid, loin ! Nous sommes les mécréants! Nous sommes les traitres! Fier de ne pas être fier d'être ! Fier de ne pas être fier d'être ! Fier de ne pas être fier d'être ! C4 au foutre, en 14 morceaux tu te sens moins seule, J't'encule, Salope, Avec des scies, on met Paris en poubelle, c'est pareil pour toi, ta mauvaise foy, t'es la lie, le parasite et la crasse. Pas d'autre choix, je dois mourir et je m'en branle, J'ai survécu à l'enfer… vos tyrans de la destruction Ne sont Que des anges en débranle, C'est arrivé loin de chez vous, la vie, La vraie, la vérité moi, je m'en fou, divertissez moi ! La vérité, J'suis avarié, Prêt à parier que vous aussi.
8.
Salut, grosse Putain, dont les larges gargouilles Ont fait éjaculer trois générations, Et dont la vieille main tripota plus de couilles Qu’il n’est d’étoiles d’or aux constellations ! J’aime tes gros tétons, ton gros cul, ton gros ventre, Ton nombril au milieu, noir et creux comme un antre Où s’emmagasina la poussière des temps, Ta peau moite et gonflée, et qu’on dirait une outre, Que des troupeaux de vits injectèrent de foutre Dont la viscosité suinte à travers tes flancs ! Ça, monte sur ton lit sans te laver la cuisse ; Je ne redoute pas le flux de ta matrice ; Nous allons, s’il te plaît, faire soixante-neuf ! J’ai besoin de sentir, ainsi qu’on hume un œuf, Avec l’acre saveur des anciennes urines, Glisser en mon gosier les baves de ton con, Tandis que ton anus énorme et rubicond D’une vesse furtive égaye mes narines ! Je ne descendrai point aux profondeurs des puits ; Mais je veux, étreignant ton ventre qui chantonne, Boire ta jouissance à son double pertuis Comme boit un ivrogne au vagin d’une tonne ! Les vins qui sont très vieux ont toujours plus de goût ! En ta bouche à chicots, pareille aux trous d’égout, Prends mon braquemard dur et gros comme une poutre. Promène ta gencive autour du gland nerveux ! Enfonce-moi deux doigts dans le cul si tu veux ! Surtout ne crache pas quand partira le foutre !
9.
Pâle comme la mort, aussi dure ! Je rentre à la maison Te la foutre dans le fion, Et tu te frapperas toute seule au visage Tellement mon train ira vite dans ton paysage Que j’démolirais comme l’on rase une campagne... RETOURNE TE GRATTER LA CHATTE AIL- -LEURS!!!!!!!!!!!! De pâles rennes tirent ton cercueil ouvert, fallait pas rester Tu l’savais… STUPIDE FEMELLE OUI, J’AI DIT STUPIDE FEMELLE, ouais ouais ouais ! Quitte la vie si tu ne l’aimes pas ! Ne reste pas avec une femme que tu détestes ! Ozzy Osbourne c’est de la merde ! Black Sabbath c’est de la merde ! Allume ta camisole ! Ouais ! Fume c’te came qu’isole ! Toujours plus ! Allume c’te camisole ! Oooh Fume ce cas qu’isole J’ai dis toujours plus ! Allume c’te camisole ! Encore ! Et fume c’te came qu’isole ! Il faut que ça marche ! Alors ça marche ! Amène ta propre déchéance ! Que tout le reste nous passe au-dessus ! Que la weed soit bonne Que nos bedaines soit pleines ! Que tout le reste nous passe au-dessus ! Sors de chez toi, serre la main bien épaisse Du faiseur de fausses promesses ! Allume c’te camisole Et fume ce cas qu’isole ! Sucez vous pour un dernier gallon ? De sperme décédé, de chienlit? Sucez vous pour un dernier gallon ? De sperme décédé, de chienlit ? En permanence cracher son venin Mais toujours remettre a demain Arrêtez de vous appeler... Par vos prénoms Sucez vous pour un dernier gallon ? Oh, du sperme décédé, du chienlit ! Tache terne éternel va lâche un serbe vomis ! Crotte zut foutre ! Encore en retard ! Crotte zut foutre ! Encore en retard ! J’vois des fantômes femelles se déambuler fébrilement Au lieu de se déshabituer Se déshabiller Chutent toujours plus lentement Trois poupards morveux sous chaque nibards Elle a les mamelles asséchés d’une cave troglodyte mal léchée T’en fais des caisses ! Vas-y lèche, c’est gratos ! T’en fais des caisses ! Vas-y lèche, c’est gratos ! Fist ! Fist ! Y’a pas de blagues drôle, y’a que des cons !
10.
Hassanats 06:50
J’te voyais venir à aboyer sans raison T’as déraillé pour une paire d’oraisons Délatrice et vos couilles ont bavés dans la matrix Une matrice pleine de sperme vous a matrixé la tête j’ai les couilles grosses comme Bellatrix Va prendre ta douche veux-tu, t’es sale comme une cécité 7 ans d’âge, c’est cité, bel adage Sorti du trou de ma bite : le peureux qui chie dans son froc n’a rien du sage Tu voyais plus l’horizon t’as choisi d’être con, t’étais déjà aveugle Comme celui qui veut pas qu’on tue la poule et qui beugle Cache tes couilles tu m’as foutu la trouille avec tes bonne intentions J’me fâche à vie face à ces lâches alors les voilà mes bonnes actions Quand les candides deviennent sordides ce sont mes propres ailes qui brulent Pluie de merde, de sang et de foutre sur leurs balcons, j’observe au loin sur mon arbre en béton, je hulule Mes vengeances vont grandir et pulluler sur ta vie J’agiterais ma bite, que toi et ta clique la voit au travers d’un écran géant Très bien serti de diamant Croqué dans la pierre de votre jalousie T’es dans le faux, repents toi, mec, tu dépends de quoi ? T’as répandu ton doigts qui pue sur tous les toits Qui voulaient bien de toi, assis sur ta chaise t’es guidé Par des mains intimidées par un cerveau en manque d’idée Dans ta guilde t’aura constamment la guigne, le bois finira par s’casser Le cul par terre tu t’rappellera d’ces doux moments où tu fumais mes cornes de pieds Extensions d’garantie prétention d’gars ranci par le confort du gras mal réparti Tache d’huile sur le t-shirt canap pas prêt pour la 4D mais y’a Netflix Pour entretenir ton strabisme, tu dégaine un périple si vide sauf pour Kleenex/C’est quoi tes bails, c’est la grosse ton fix ? J’étais clairement pas prêt à atterrir dans ta ferme en fait, vite débarqué vite reparti, j’avais pas compris, PAS ASSEZ ENTHOUSIASTE POUR PLAIRE A TA PETITE SOEUR SOUS MD Moi j'ai juré, depuis j'ai pas refumé Sur l'un d'ces culs mal parfumés, Indépendant comme un corse à cheval je m'ébranle Et me débranle dans des champs où l'on s'en branle J'me suce tout seul à des heures improbables Trop d'pétasses en attente j'ai besoin d'un comptable TOUJOURS PAS ASSEZ ENTHOUSIASTE POUR PLAIRE A TA PETITE SOEUR SOUS MD LE PIRE EST AVENIR, ET LE RESTE : A BENIR.
11.

about

"Un drôle sérieux, — pas drôle. ", pour paraphraser Tristan Corbiere dans son Epitaphe, entame bien la description du violent second degrés, ambiguë à l’extrême, utilisé par Baculum dans BACULUMESQUE et toutes ses autres chansons, tans pour raconter une histoire aux allures simples, en vérité complexe, que pour faire passer un message interprétable de dix milles façons par le publique, ou le lecteur, qui va devoir affronter milles et une figures de styles morbides, au milieu d'écart prosaïques nihilistes aux bouffés délirantes.

Avant d'être à même de décrypter l'ensemble des clins d’œils et easter eggs présents dans les paroles, le lecteur va devoir gratter trouzmille couches d’oignons qui font chialer sévère.

credits

released December 25, 2017

Composé par Baculum, dérangé par Bozo, remis dans les ordres par Franck.

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about

BACULUM Bordeaux, France

Bozo : guitare-chant

Franck : basse

Smity : drum

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