1. |
Zig Zag
03:35
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Ouais nan, j'sais pas, ouais nan, j'sais pas,
Laisse moi bedave,
Ouais nan, j'sais pas, ouais nan, j'sais pas,
Laisse moi bedave
Baiser des gosses, c'est bien... Baiser des gosses morts, c'est mieux !
Ouais nan, j'sais pas, ouais nan, j'sais pas,
Laisse moi bedave,
Ouais nan, j'sais pas, ouais nan, j'sais pas,
Laisse moi bedave
Pas juif, PD, ou franc maçon... J'ai râté ma vie c'est bon !
Ouais, nan, j'sais pas, ouais nan j'sais pas, laisse moi bédave du po-po-popopo
J'me rêve en seize neuvieme un holocost de lardon né
J'bosse pour la paix j'suis comme un flingue, ouais ouais ouais
Ogive qui laisse pas d'traces ( pas ) comme dans vos slips
Et t'oubli pas le nom d'la marque
Traine des pieds et des gueux bizarres
Genre Marc Dutrou, Pablo Escobar
Ouais, nan, j'sais pas, ouais nan j'sais pas, laisse moi bédave du po-po-popopo
Ouais, nan, j'sais pas, ouais nan j'sais pas, laisse moi bédave du po-po-popopo
Ta virilité en forceps
Gravide, accouche d'un morveux livide, les mains du docteur, un pieu
Qu'arrache la tumeur
Kalash les rumeurs !
Ouais, nan, j'sais pas, ouais nan j'sais pas, laisse moi bédave du po-po-popopo
Ouais, nan, j'sais pas, ouais nan j'sais pas, laisse moi bédave du po-po-popopo
3 Ricard cassent ma dégaine
Et tricard déploie ma rengaine
Jamais la même, jamais je jure,
J'suis dans le néant, NIQUE TON FUTUR
Metal lourd pop de pute rap de pachiderme appelle ça comme tu veux
Ca restera noir et en feu dans ton épiderme comme dans tes cheveux
J'ai spermé dans tes narines et d'un coup t'as fermé ta gueule
Fallait que j'te crache ça sous l'nez pour qu'tu pige le jingle
J'retourne toutes les croix que j'croise sur ma route
Mes burnes sont comme des crapeaux,
Foutent le zbeul et croassent, te déroutent,
Melbourne-Bordeaux, en un coup, t'es KO ( merci pour la montre )
Dans l'album j'suis deter
Sur l'album j'roule des ter
Des sous, l'album on t'enterre
Au dessous d'l'album, y'a les enfers
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2. |
Né d'un kyste
08:24
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Nique les fragiles nique vos crises vos desastres, le sel du christ
Sombre océan du divin l'absolu dissolu dans l'étain du marais
Sale absent révolu le tourbillon du bar à la pisse où personne entends rien
Mais tout le monde s'éteint comme à la plage, les remous l'écume
Le sperme, la mousse où tu nage
Perché ma tour qui sodo sans remords comme un christ vouté comme une bite
Sur laquelle tu mord à pleines dents et le diable t'habite quand ma messe
Personnelle devient mycose et gospel, quand cohabitent nos sèves,
Que s'excitent que nos lèvres,
Que jaillissent nos vies
En milles éclats d'ennuis
J'me faisais chier avec tes femmes et tes cuites
J'me faisais chier
Dans ces salles ou crevaient des âmes en fuite
Y'en a ras le cul de ces maigres terroristes
Né du plus ingrat des kystes
Tu voulait voir pousser
Une fleur dans le cendrier
Mais tu te gratte la aine
Ta grotte se gatte
La solitude, branché,
Devient ton gode
Pour toi la putain l'on a tendu des bras
Mais tu ne te souviens ni têtes ni voix
La pisse tapisse tes pieds qu'en ont assez
Bravo t'es la dernière qui te baise
Car sur papier glacé
L'escarre et l'sida pèsent !
Lalalalalalaala
Lalalalalalalalala
Lalalalalalalala
Lalalalalaalalalala
L'enfer le paradis s'situent au meme endroit :
Dieu, Satan, sont avec moi !
Nous sommes tous
Né d'un kyste !
Nous sommes tous
Né d'un kyste !
Nous sommes tous
Né d'un kyste !
Nous sommes tous
Né d'un kyste !
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3. |
LILITH
01:36
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N'aimez point le monde, ni les choses qui sont substantielles .
Noir est Le tourment des vivants vers la quintessence de l'ombre. (la sombritude du mal .)
Persistante soit la finalité précise du maître.
Au diable les soupçons que je me dérobe au prix qu'on te surnomme !
Que sévissent la perfidie et le pouvoir pour l'exaltation de l'homme!
L'abstinence des lois est exclu de la purgation,
Pantins de notre existence !
Seul triomphe d'une médisance,
Où les Vieilles viandes qui agonisent parfois par des hurlements ou des sanglots.
Entraînant avec eux le reste de leurs os, par un céleste poison bien mieux qu'insultes et violence ! voilà le lisier de l'orgueil et de la convoitise.
Vénale pour la chair, la haine et la mort, n'obscurant la volonté d'exister que par futiles miroirs putrides où la laideur n'est qu'un idéal .
Voici la rutilance du deuil et de la puantise.
Maudits soient les adorateurs de Dieu!
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4. |
Le psychologue de Dieu
04:05
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BOZO
J'écris je dis je fais ce que je veux
Je suis l'alpha, et l'omega, je suis le sel du christ,
Je sue la sueur des astres, je suis né d'un kyste,
Je suis la parousie finale,
D'un Jesus aryen,
Ou d'un Hitler génial
Je suis raciste, homophobe et sexiste
J'écris, je dis je fais ce que je veux
C'est bien connu, je m'appel Dieu
Et plus que toi j'existe
Car
Après moi le déluge
Après toi l'vermifuge
Dans l'air du temps
Je suis méchant
Et vilain
Comme les humains
Je suis fou
J'ai b'soin d'un psy
Assied toi
Ecoute moi
Dans la troposphère, j'fume et j'm'attrophie
J'suis sans lumière, sans jeu et sans profit
Je n'sais plus
C'que j'ai conclu
Tuer les juifs ?
Ou bien sauver leurs pif ?
MORLA
Noirs corridors brassant du vent
J’ai troqué ma tisane contre du pastis
Les pavés humides pour simple divan
Près de la nef, rituels et sacrifices
Ici mes seules amies sont des gargouilles
J’paie c’foutu loyer à la cathédrale
J’en fait pas un pseudo drame
Alors t’sais quoi faire, lèche moi les couilles
Notre Dame de Psychologie
Putain de Freud dans l’abbaye
Derrière l’autel, grosses saillies
J’urine sur ton putain de fengshui
Coincé dans ce trou à rat
J’discute avec le grand barbu
J’t’parle pas du grand arabe
Mais d’un salaud cornu
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5. |
Feu à volonté !
17:29
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Sur la pointe des pieds
Gros orteils dans ta chatte
Ongles incarnés
Mycoses pire que les tiennes
Femmes, je vous haine !
En attendant la bonne j'fais des pâtes !
Oh cette parano,
Puristes : cassez vous !
Nos ambitions par la fenêtre
Donnent sur de sombres jardins,
Ambiance cimetière communal,
On a rien à perdre, tellement qu'on est moche !
Pas si seul : des tiques squattent notre caboches
Elles parlent, et t'sais quoi ? T'es con ! Les autres aussi !
28 grammes plus tard...
Ne faisons rien, allons nul part.
Putain, le doom... c'est de la merde
A chier...
C'est à chier !
Je suis né, j'existe et bordel je vis, quel embarras, j'me défonce sans cesse,
Il est 6heure, jai pas dormi, me fais violence de chaques secondes qui passe
Remet en cause le jour ou j'uis venu au monde en tirant la gueule
J'réfléchis, mais bon, agir ou s'branler, très franchement y'a aucunes diff'
Zero,
Nada,
Que dalle,
R
Tu peux fléchir, trop lourd pour toi même, dans les voluptes du spliff,
Continuer d'fumer tes idées pures,
Me cherche pas la merde, c'est MOI la sale gueule !
Cours pas la mort, tu fuis la naissance, chie dans ton froc
Premiers instants : si t'es vivant t'es qu'infirme, qu'une loque
De l’inconvénient d'etre né s'est forgé ma volonté de n'être
Qu'un escroc du... gouffre !
Si tu pige pas le golri du mal être,
Que berle tu, tout assombri ?
Moi trop déçu pour être bouddhiste,
Jveux juste être lamentable comme dieu,
Je me veux né d'un kyste.
La tyranie du temps n'épargne rien n'y personne, pas même vos idées excrémentielles,
Le nombre de vos tombes : exponentielles.
Mais... mais, le temps n'existe pas ma belle !
Salope pute pute pute salope salope pute salope pute salope pute
Salope pute pute salope pute salope salope salope pute pute
Pupupute pute salope pute salope salope pute pute pute pute
Salope pute pute salope pute salope salope salope pute pute
" Ce soir je ramène une gonzesse à la maison, bien plus belle que toutes les autres, tu vas voir...
Elle travaille à Brico elle aussi,
En fait ça fait des années que je la connais,
Des années qu'elle mouille sur mon corps de gitan derrière sa caisse enregistreuse...
Tu lui jouera de la guitare ? Elle devrait aimer ce que tu joue, elle est fan de Maria Callas.
C'est pas comme avec Nathalie, on en parlera pas à ta mère cette fois, okay ? Celle là, elle est bonne,
Elle a un beau cul, elle a deux gamins aussi mais on s'en branle, hein,
Ce n'est pas comme si elle allait rester eternellement...
Juste un soir, ou deux, okay ? "
Okay ?
Des soirs, elle en resta trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf... 4 ans.
Et ses morveux avec.
Des soirs, elle en resta trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf... 4 ans.
Et ses morveux avec.
La nuit et ses couleurs s'effacent, sonne le crépuscule
( Qui t'encule. )
Vie fade, tenter la mort ? Toujours raté !
Illettré : t'a raté ta vie !
J'ai la vision noir caviar,
Mes hummers sont des corbillards
Là où les gens marchent, je m'y couche, c'est pour ma dhiarrée
Ma bite : surpuissante, mes piscines sont des marais
Dans mon jardin il y a toutes les morts, arrosés de milles nuits, ici tout est rance,
Oui, c'est le doom : mes arbres sont des potences
On est blancs, sales, et pauvres.
Des soirs, elle en resta trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf... 4 ans.
Et ses morveux avec.
Des soirs, elle en resta trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf... 4 ans.
Et ses morveux avec.
Ton colon n'est plus qu'un linceul frêle,
Ma lance tête rouge vermeille, est fière !
Elle se tiens droite dans la cohue
Rouge incandescente de ton intestin grêle !
Nos ambitions par la fenêtre donnent sur de sombre jardins,
Notre lumière, notre dieu, notre mort !
Torturé, à vif ! Perché, au plus profond du naze
Incroyable, traversant les métaphores topaze
On a évité tout ça, on a frôlé la vie !
Ni-hi-liste, c'est le propos, il blague comme un cadavre, et lorsque tu dérive
Dans ton kanoé de petit fou, les yeux gonflé, le cerveau endormi, vessie maladive,
Récompense grassement mon teint livide,
Si c'était si nul à chier, personne oserait mourir,
On s'amuserait à mater le christ pourrir
Lentement, tranquille, dans son éternité,
Troquer la croix pour une chaise electrique rempli de vanité
Fier de cet absolu, fier de mourir, car ici tout est provisoire !
Ou sont les couilles ? et leurs morpions ?
Ou sont les couilles ? et leurs morpions ?
Ou sont les couilles ? et leurs morpions ?
Ou sont les couilles ? et leurs morpions ?
Vivre,
C'est prendre des risques,
On laisse ça au tétraplégiques,
Ici, ambiance cimetière communal,
Dans l'salon : 3 cadavres !
Et ça tire la gueule !
Tu sais quoi Jean-cule ?
La musique c'est merdique !
Feu à volonté !
Feu à volonté !
Feu à volonté !
Feu à volonté !
Tuer, tuer, tueeeeeeeeeeeeeeer !
Feu !
Feu !
Feu !
Feu !
AD
MAJOREM
BACULUM
GLORIAM
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BACULUM Bordeaux, France
Bozo : guitare-chant
Franck : basse
Smity : drum
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